L'arrivé d'un fou !

Celà devait bien faire une lune que le Seigneur Alendil était passé sur les terres du clan des Trolls And Chaos, laissant multiples invitations aux trolls.

Mais en vains aucun n'eut le courrage de prendre le long chemin séparrant les deux contrées.

C'est alors qu'un jour l'un d'entre eux se présenta devant les palissades de L'Ordre des Chevaliers du Saint Regard Eveillé geek

Beuglant devant la grande porte, attendant réponse à son appel.
Une petite voix se fit entendre
qui est là ? et que nous voulez vous?

Le troll, de sa voix forte et terrifiante lui répondit :
Je viens en paix, et suis Seigneur du Clan des trolls que votre cher seigneur Alendil eut visité il y a quelques nuits encore

Dans un vacarme énorme, les portes s'ouvrirent.

Le troll se retrouva très vite encerclé par la garde de l'Ordre, menacé de leurs piques et javelines.

Un petit sourrir sur le coin des lèvres et un regard inspirant la terreur,
les garde n'étaient plus aussi rassurés qu'ils l'étaient et pour preuve,
on entendait les tintements des armures des plus jeunes s'entrechoquer.

Caché derrière sa cape, il était difficile de savoir s'il était celui qu'il prétendait être.

Il entendit la voix d'Alendil à l'arrière de l'assemblée :
découvres toi de ta cape et ton capuchon, que nous puissions savoir si tu es effectivement l'un d'entre ceux auquels tu prétends appartenir

Le troll se redressa, retira sa cape d'un geste habile,
laissant ainsi entrevoir qui il était réellement.

Une tunique aux couleurs de ses armoires,
son emblème apposé sur sa poitrine,
un soleil pourpre surplombé d'un tête de mort;

ses armes scintillaient à la clareté du jour, en laissant plus d'un garde rêveur.

C'était bien lui !

Il prit la parole un court instant :

Bien, très chers Chevaliers de l'Ordre, me voici devant vous,
mais laissez moi me présenter d'avantage...

il s'arêta un court instant avant de reprendre

Je viens d'un royaume oublié de tous,
il se nomait jadis Faérune, j'ai conquis ce royaume de mes mains
avant d'en prendre la gouverne et de m'y instaurer divinité.
J'ai parcourus de multiples plans avant de vaincre les dieux
grâce auquels j'ai forgé mon image et grâce auquels j'ai pu accéder
à ce rang divin que certain m'alouent encore de nos jours.

L'on me prénome Cyric, Divinité Supérieure des Roublards,
des mensonges, des voyageurs, de la duperie, du vol, de l'insceste
et encore un grand nombre de qualités que vous saurez m'attribuer.

J'appartiens à ce clan, que de mes mains j'ai forgé à l'aide de mon frère d'armes
portant le nom de TCHAO.

Pour quelle raison me demanderez vous...

Car il est l'unique clan troll ayant survécu au travers des âges.
Les histoires de descendances, d'accès au pouvoir,
d'affiliation et j'en passe...
Le clan ne formait qu'un avant de se diviser pour se reformer plus tard.

Lors de la séparation du clan on put y trouver deux groupes :
les Chaos et les Trolls

Ce n'est que des siècles plus tard que nous nous réconcilliames enfin
pour plus puissants détruire toute nuisance à notre égard

Cyric se tut, attendant les éventuelles questions des gardes, seigneurs et chevaliers, qui semblaient émmerveillés à ses mots.

Les Chevaliers du Saint Regard étaient des hommes bons, des hommes bienveillants et prompts à embrasser la coupe de l'amitié et de boire aux rêves d'une fraternité, ils étaient ouverts. Mais ils avaient aussi l'expérience des sages, ils avaient l'arrogance des adolescents et la fierté des Maîtres, leur Orgueil faisait d'eux de hautes statues d'un métal froid et hautain, d'une pierre pure et indétrônable. Et de fait, ils étaient capricieux.

Le jeune Roi, appelé par les siens, le "Roi Rouge", savait tout cela et pardonnait à ses amis, aux Sénéchaux de leur absence du moment. Il s'engagea donc à accueillir seul le Seigneur Cyric, Maître de tout un Empire et dirigeant d'une puissante Dynastie. Il ne se leva pas de son trône lorsque celui-ci entra dans la Salle, entouré de Paladins ( et non pas de vulgaires "gardes") de la Lumière, qui le s'en allèrent après l'avoir escorté devant le Trône Rouge. Alendil le salua d'un sourire et le remercia:

Bienvenue en cette Cité, la Cité du Chapitre, Messire, puissiez vous y trouver ce que vous y recherchez. Sachez que c'est un grand honneur pour ma Maison que de recevoir un membre aussi illustre de la vôtres.

Il se leva enfin et accompagna le Seigneur Cyric à une longue table entourée de hauts sièges de bois tous strictement identiques. Il s'y assit, permit à son invité de prendre place en face de lui et continua:

Le récit de votre vie est tout à fait fascinant, je suis heureux qu'il me fut permit de l'entendre. Peut-être pourriez vous me parler plus précisément et individuellement des différents frères d'armes, des autres Empereurs qui permitent par leur intervention, l'édification d'une telle fraternité?

Il joignit ses doigts un à un par dessus la table et laissa vagabonder son regard émeraude sur le visage surprenant du Seigneur dont il s'était humblement l'hôte.

Cyric désormais installé dans la salle dont la luxure était digne de la hauteur des paroles de son interlocuteur, pris place sur un de ces siège dont le doux tissus était très plaisant au toucher.

Il prit donc avec intérêt chaque mot prononcé par le "Roi Rouge" avant de continuer son récit.

Mes compagnons d'armes m'ont accompagné au travers des plans interdimentionels multipliant les combats et les joutes.
Parmis ces derniers vous pourez retrouver des personages héroiques et divins tel le fut Crom. Dieu des carnages, placez lui un hache devant lui et offrez lui votre meilleur homme, il se ferra un plaisir certain de jouter de quelques passes d'armes avec lui.

D'autres de mes compagnons nous ont depuis lors suivi après les multiples récits des bardes, troubadours et rumeurs.

Une servante apporta une jarre emplie de vin à la table ou siégaient les deux aventuriers.
Elle en servit deux cornes avant de les disposer devant les deux derniers.

Notre groupe commenca à se former et a prendre taille, telle une légion au service du chaos, se battant à mort pour défendre les leurs.

Mais un jour, l'un d'entre nous tomba, son corps gisait sur le sol déversant ses dernieres gouttes sur les genous de sa mère la terre.

Un assaut mal accueilli par les miens, alors que nous célébrions le culte de mon clan, vouant corps et âme à Koromm et sa volonté d'anéantir toute forme de vie humaine.

Alendil semblait quelque peux choqué aux mots du roublard, mais l'écoutait avec une attention toute particulière.
Trinquant à leur santé respective et à la gloire de leur dynastie.

Le combat mené par les troupes d'une coalition d'orques et de gobelins, nous dépassant d'une centaine de guerriers, fut long, fatiguant et plus qu'imprévu.
Jamais nous n'aurions pensé qu'il auraient été capables d'éllaborer une stratégie à notre encontre.
Et pourtant nous terminâmes par remporter le combat après avoir décimé plus de la moitié de leurs effectifs.
Koromm voulait du sang frais pour son culte et il en avait eu, mais jamais alors nous ne vimes en ses parchemins qu'il nous fallait verser le sang d'un frère pour assouvir ses désires.

Cyric repris une gorgée de ce vin d'une finesse et d'une délicatesse qu'il n'eut jusqu'alors jamais gouté.

Après cette bataille, nous nous sommes repliés dans notre caverne, à l'abris des regards extérieurs et ou seul l'un d'entre nous connaissait l'unique issue pour en sortir.

Nous sommes ainsi restés enfermés des mois durant, reniant notre religion au plus profond de nous même, jusqu'à l'élaboration d'un plan quelque peu machiavelique, consistant à monter au Royaume des dieux pour détroner Koromm.

Et c'est au cours de notre quête que nous rencontrâmes la deuxième partie de notre clan actuel.

Une histoire similaire leur était arrivée, et ils voulaient eux aussi venger la mort de l'un d'entre eux, leur chef. Qui lui, pourtant fils de Koromm, perrit d'un manière jusqu'alors innexpliquée et innexpliquable. Il ne pouvait être que la volonté de celui qui mourru des siècles plus tard par la hache de Crom.

C'est au cours de cette quête que nous commençâmes à détronner les dieux, les uns après les autres, tous ceux qui s'opposaient à notre volonté devaient mourir et tous ceux voulant nous aider se sont alliés à nous.

Voici, très cher Alendil, ô Roi Rouge, l'histoire de mon peuple.

Et j'ajouterai que ce n'est qu'en restant unis et soudés comme nous l'avons été que nous avons pu accomplir notre destiné.

Garre à ceux qui croient pouvoir nous faire face, car même plus faibles, notre force réunie nous a donné ce que nous esperions au plus profond de nous même.

Cyric s'arrêta alors de parler, termina sa corne de vin, attendant peut être quelques questions de la part d'Alendil.

Invité

- Intéressant...

Cyric eut un tressaillement lorsque la voix caverneuse résonna dans son dos. Tout les regards se tournèrent alors vers la créature qui traversait maintenant la pièce sur ses deux pattes arrière. Elle dépassait chacun des paladins d'au moins une tête mais sa démarche était pourtant légère. Son visage était semblable à celui d'un lion mais sa fourrure était bleue et sa crinière blanche élégamment tressée. Il ne portait pas d'armure et paraissait ainsi ridiculement nue devant les sublime armures finement ciselées que portait les soldats .
Il contourna la table et vint se placer à la droite de son roi.Il plongea ses yeux jaunes dans ceux de Cyric durant d'interminables secondes au point que ce dernier aurait pu se demander si cet être à priori primitif pouvait raisonnablement être doué de la parole.
La bête eut un petit sourire satisfait et croisa les bras sur sa poitrine velue.

- Heureux de vous connaître Cyric, je suis le chevalier Sénéchal Exodus. Je vous avouerais que le simple fait que vous ayez traversé tout ces territoires hostiles avec pour seul et unique volonté de répondre à l'invitation de mon roi me surprend d'une part et me satisfait dune autre. Vous semblez être un homme courageux et nous n'en sommes que plus fier de vous accueillir...cependant...une question me taraude.

Il décrocha un instant son regard de celui de Cyric pour le poser sur le Roi Rouge cherchant un signe d'assentiment. Alendil ne bougea pas mais ils sembla au Troll qu'il n'avaient pas besoin de se parler pour se comprendre et les yeux d'Exodus se posèrent à nouveau sur lui.

- Venez vous ici à titre personnel ou bien en tant que représentant de votre alliance?

Il pencha alors sa tête sur le côté scruant le visage de l'invité à la manière d'un petit chat curieux attendant la réponse.

Je suis vraiment content de vous connaître sir Exodus, ma venue pourrait concerner mon clan comme ma propre personne.

Après la venue de votre Roi Rouge, le noble Alendil, j'ai décidé de venir vous trouver afin de mieux connaitre les rangs de l'Ordre.

En effet, nul départ n'est simple à un stade aussi avancé de notre époque, et du courrage de l'unique Roi en sige ci présent, j'ai pris la décision de retrouver quelques folies de jeunesse en traversant les chemins peu sûrs de ces empires otoctones pour trouver ce petit coin de paradis dans lequel je me trouve dès à résent.

Cyric tendit sa corne à vin à la servante pour qu'elle le resserve.

Et... pour ce vin ! Fabuleux ! Magnifique ! Extraordinaire!

...

Mes seigneurs, l'objectif de ma venue n'est point de vous déranger avec quelques propositions de pactes en tout genre, sinon trouver peut être de nouveaux compagnons d'armes avec lesquels nous pourrons peut être un jour croiser le fer du même côté.

Mais nous n'en sommes point là, ici je ne vois que paix, joie, beauté et tranquilité, tout ce dont un peuple a besoin pour prosperer paisiblement.

Le jour ou Sir Alendil m'eut proposé de venir en vos comptés, je ne pensais pas venir un jour, puis, avec quelques hazards, je me suis trouvé à prendre la route que ma pierre sacrée m'indiquait de suivre.

Et me voici.

Je dois vous avouer que maintenant en ces terres, je resterai bien quelques jours en vos murs afin de mieux vous connaitre.
Si ô Grand Roi Alendil, me permettrez vous de m'installer quelques jours?

Voila maintenant quelques heures que nous discutons, et je trouve votre companie fort sympatique. Peut être un soupçon de bonne école ou de bonnes relations qui s'entammerait.

Cyric observa Exodus d'un regard appaisé, se faisant reservir sa corne de ce vin extraordinaire.

[HRP]Pense à ne jamais faire agir explicitement les personnages des autres joueurs, évite par exemple de dire que je bois, ou que je trinque, que je parais ravi, en colère, moche, beau, etc. Le Rôle-Play est littéralement un jeux de rôle et si tu fais interagir les personnages des autres, tu fausses le rôle des autres dans ce jeu. De même, quand tu es dans l'Ambassade de quelqu'un d'autre, tu ne peux, voire même tu ne dois pas décrire les mouvements des valets, ce qu'ils apportent ou pas, au risque de faire des erreurs. Par exemple, nos valets ne servent pas des cornes mais des coupes. Par contre les tiens, si l'on venait à faire un RP chez toi, nous serviraient des coupes. C'est sans animosité aucune que je te dis ça : ) Merci.[/HRP]

Alendil hocha la tête, sereinement et leva sa coupe pour lever un toast en l'honneur de leur étrange invité. Il avait apprécié l'intervention du si sage Exodus et déplorait quelque peu que Dame Penthesilia fut occupée à d'autres affaires qui occupaient sa colère et son énergie. Quant au dragon à deux tête, celui des Sénéchaux qui passe plus de temps à dormir qu'à penser, le dénommé Gola, cela faisait longtemps qu'Alendil ne lui demandait plus de s'investir dans l'accueil protocolaire des invités. En effet, Gola était un routard, un bourru, il connaissait bien l'art de la guerre et il était le Troisième Fils de l'Atréïade, mais il rechignait à user de ses talents d'orateur, plus par paresse que par manque d'éducation. La paresse est-elle un manque d'éducation?

Alendil ébroua ses pensées en fixant l'intensité verte de son regard sur le Seigneur Cyric. Puis il se leva, posant ses doigts sur la surface polie de la table:

Seigneur Troll, il est bon que vous ayez pris le temps et le risque de venir jusqu'à nous. Rares sont ceux qui apprécient l'Ordre et pourtant celui-ci suscite jalousie et convoitise, rares seront nos alliés et nombreuses seront les légions de nos ennemis mortels. Cela ne va évidemment pas pour nous déplaire, nous jubilons à l'idée d'un combat dangereux.

Il s'arrêta tandis qu'un valet ramassait sa coupe et venait proposer un nouveau cruchon de vin à leur hôte. Il suivit les mouvements de l'homme avec une lente fascination, puis il reprit:

Pour autant, et vous le savez, nous ne souhaitons aucun traité. Notre Ordre n'est pas là pour sauver de quelconques alliés. Il est là pour permettre à l'humanité et à son Esprit de traverser sa propre folie et de demeurer quand elle s'anéantira. Ainsi, nous accueillons volontiers des amis, des frères, à l'unité individuelle. Mais jamais nous ne nous lierons à une alliance entière.

Le Roi Rouge arborait un sourire sincère, et son visage n'était que sérénité. Il se retourna pour aller chercher une bouteille poussiéreuse sur une des nombreuses étagères recouvertes de livres et revînt à la table. La débouchant, il en servit de trois gros verres carrés et en tendit un à chacun des Seigneurs présents à la table avant de se rasseoir.

Prenez garde, Maître Troll, c'est du cristal et vos grosses patounes pourraient le rompre.

Il lui fit un clin d'oeil et termina:

Ainsi donc je considère en tant que Roi du Saint Ordre que vous venez en votre seul nom et cela sied aux attentes de nos frères. Que pensez vous être capable de nous apporter, Seigneur?

Alendil faisait tourner le parfum du saké, parfumé et sucré, sous son nez avant de le savourer à toute petites gorgées. C'était un saké fait à base de riz et de pruneau, une recette issue de ses aïeuls de l'Atréïade...

tssssssss cyric est le seul troll a parler tout le temps en RP. Les autres on tous la flème de les lire ^^. Comme je les comprend en ce jour Wink

.

Bon je vais essayer de m'intégrer a ce RP.

Sogeking entra a son tour dans la taverne demanda le meilleur alcool qui s'y trouvai, le gouta, puis en commanda 5 citerne pour que enfin il puisse avoir une inspiration directement donnée de bachus.

Sur ce il resta quelque temps scrutant mais ne disant rien afin de voir dans quelle monde il venait d'arriver et pour voir si les gens y sont accueillant et aussi penché sur le bourrins que lui ( bien qu'il n'aime pas le pratiquer )

Invité

Exodus rugit et s'approcha du présomptueu qui venait non pas d'entrer dans une taverne mais bien dans un salon privé appartenant au roi.
Il lui barrait maintenant le passage, l'empechant aisni de s'approcher plus de son roi.
Il se tourna vers Cyric:

Un autre troll monsieur, et moi qui commençait à m'imaginer votre race comme étant raffiné.

Il se tourna vers l'intru et lui parla posément sans qu'aucune colère n'anime son visage:

Nous éxigeons un langage et une tenue correcte en présence du roi. Autant nous savons réserver un acceuil chaleureux à ceux qui respecte l'éthique et ont du savoir vivre autant votre intervention tapageuse était à éviter.

Il avait parler avec une froideur telle que l'ambiance était devenu pesante. Mais un sourire étira alors les lèvres d'Exodus :

Non pas que nous n'aimions pas la boisson ou tout autre amusement. Mais vous saurez certainement trouver un autre...

Il marqua un temps d'arrêt.

Terrain de jeu...

Le Roi Rouge ouvrit de grands yeux face à l'interruption brutale et strictement désinvolte du Seigneur Sogeking, Empereur des TCHAO, restant tout à fait pantois devant l'indulgence du dit être. Il ne dit rien à la réaction sèche et cassante du Chevalier Sénéchal Exodus et le laissa exprimer sa colère. Ce jeune homme avait besoin de remettre à sa place l'impudent. Puis il fit un petit geste de la main à son frère d'arme, lequel se tu.

Laisse, Exo', ne t'énerve pas pour ça.

Alendil se leva alors, les deux mains ouvertes, paumes vers le ciel.

Cher... compagnon, sachez que vous êtes dans une Salle du Trône, celle du Roi Rouge, dirigeant du Saint Ordre, à savoir moi. Et non dans une... Une taverne. Votre ami, le Juste Seigneur Cyric nous a fait l'honneur de sa courtoise visite en suivant un protocole tout à fait tenable.

Alendil regroupa ses mains et conclut dans un sourire:

J'irais même qu'il fait honneur à votre Maison. Veuillez donc passer votre chemin si vous comptez l'humilier, lui, dans son louable et frutcueux effort d'élévation. Je vous invite à aller boire à la Taverne, si vous voulez en effet ouvrir discussion plus... facile.

Il se rassit alors et le Seigneur Sogeking fut invité à faire plus attention où il mettait les pieds et, s'il voulait prendre part à l'endroit, il était prié de prendre connaissance de l'intégralité des évènements s'y étant déroulés.

rigolant discrètement, Cyric s'inclina devant le roi avant de se retourner face à Sogeking.

Takada Sogeking! maragha erut taberne, o bata carigo, o teruk zorog rabhahal
Tiens Sogeking ! vas à la taverne, changes toi et respectes un peu les nobles traditions de l'Ordre !

Il fit signe un signe amical à Sogeking avant de se retourner à nouveau vers le Roi Rouge.
Cyric respira l'odeur du saké précédement offert par Alendil, le regarda avec un soupeçon de désolation conformément à l'interruption regretée de son ami.

s'adressant aux deuxVeuillez l'en excuser, mon ami Sogeking a été durement torturé durant de nombreuses années avant de retrouver mon Empire, il n'a plus toute ses idées et j'ôse espérer que vous ne tiendrez point de jugement en sa défaveur.

Cyric respirait délicatement l'odeur du saké avant d'en reprendre une gorgée.

Alendil balaya l'air devant lui d'un ample geste de la main, gracieux et noble, le sourire aux lèvres et les yeux à demi clos, afin de confirmer la requête du Seigneur Cyric. Son regard était serein et il n'avait en aucune manière l'air de sentir l'Ordre ou lui même offensé de l'intervention maladroite du Seigneur Sogeking.

Il n'est pas question de lui en vouloir, mon ami, nous sommes tous passés par là.

Il ajouta un sourire complice pour clore l'incident. Il sortit sa longue pipe finement ciselée aux armoiries de l'Ordre des Chevaliers et l'en bourra doucement d'une herbe verte. Elle dégageait un parfum de thé, serein, profond et apaisant alors même que la pipe n'était pas allumée.

Voyez-vous, j'apprécierais grandement que vous répondiez à ma question, de laquelle tout peut découler.

Il alluma son objet avec un briquet à la longue flamme majestueuse et en aspira tranquillement une large bouffée. Derrière lui, les valets venaient d'allumer les six ou sept âtres qui flanquaient les murs d'une pierre délicate. Leurs feux ronflaient déjà tandis qu'une sensuelle chaleur emplissait l'endroit maintenant. Les reflets dansaient sur la demie longue chevelure brune du Roi, sur laquelle reposait un serre-tête d'argent sertit d'un unique rubis de la taille d'un pouce, en son dessus. Le regard du Roi reposait nonchalamment sur le feu, perdu dans quelques pensées, tandis qu'ils attendaient la réponse de leur hôte, de laquelle tout pouvait arriver.

Le seigneur sogeking ne comprenant rien au phrase des personne non trolls se redis compte de son erreur lorsque cyric lui expliqua.

En même temps il aurait tout de suite compris si il s'était donné la peine de lire les poste plus haut. Mais bon un troll se doit il de savoir lire ? Est ce forcément indispensable sur un champ de bataille ?

Et c'est sur ces question qu'il repartit en brisant la table en signe d'excuse ( ba quoi on fait comme sa chez nous )

Il parti donc pour la taverne avec son alcool afin de retrouver ses copain les pilier de bars.

Cyric dépité du comportement irrespectueux de son compagnon plonga sa tête entre ses pattes de troll.

Se redressa et proposa réparation au près du Roi Rouge, les moeurs troll sont effectivement loin d'être semblales à celles de ces chevaliers de l'Ordre.

Monseigneur Alendil, je déplore totalement la situation, et vous ferrai fabriquer une nouvelle table, ou donnez moi ne son coût afin que je vous en dédommage.

Mais pour en revenir à votre question ô Roi Rouge, je pense pouvoir vous apporter, d'une part une certaine complicité, et d'autre part un allié fiable sur lequel vous pourrez compter à tout moment, et quelle qu'en soit la situation.
Je n'ai jamais trahis qqn envers lequel j'exprime sympathie ou amitié, et ce n'est point au jour de demain que je viendrai planter un couteau dans le dos de l'un d'entre ceux dont la confiance est, reste, et demeure.

J'espère ô Roi Alendil avoir répondu à votre requête.

[HRP] En effet, je me désigne Dieu des Roublards mais je suis qqn de confiance, il faut savoir faire la part des choses entre le petit RP sympa ou l'on peut se glorifier, et la réalité dite "ingame" sur laquelle on pourrait me désigner comme le joueur en qui on peut avoir une confiance absolue.[/HRP]

Penthesilia longeait l'interminable couloir qui conduisait à la Salle du Trône. Le regard haut et fier, elle semblait perdue dans un lointain rêve, mais elle écoutait néanmoins avec attention le Garde qui l'accompagnait et qui lui contait les propos tenus par le souverain Cyric quelques instants plus tôt.

En arrivant devant la salle, le garde s'éclipsa discrètement et la jeune femme se dirigea tranquillement vers la table où siégaient déjà Alendil et Exodus, ainsi que le chef des TCHAO. Elle salua ses compagnons d'armes d'un malicieux sourire puis prit place face à Cyric. Elle le dévisagea un instant, silencieuse.

Bienvenue en ces lieux Sieur Cyric. Excusez mon retard, j'étais retenue ailleurs pour mon plus grand déplaisir. Et je déteste être contrariée.

Un sourire teinté de mépris se dessina furtivement sur ses lèvres.

Enfin, me voici là, prête à vous accueillir. Je suis le Chevalier-Sénéchal Penthesilia, ancienne Reine des Amazones et désormais membre de cet Ordre auquel vous avez eu la courtoisie de rendre visite!

La jeune femme s'empara d'une bouteille qui trainait sur la table et se servit un verre qu'elle goûta du bout des lèvres.

Nous aurons sûrement le loisir de discuter plus longuement, puisque vous semblez avoir l'envie de rester quelques jours parmi nous.

Penthesilia s'installa confortablement sur sa chaise et dégrafa la petite cape en fourrure rouge sanguine qui reposait sur ses épaules. Elle ébourriffa ses cheveux d'un geste expert puis se tournant vers Alendil, elle lui demanda sa tabatière. Enfin, elle se tourna de nouveau vers Cyric :

Mais je vous prie, en attendant, reprenez donc votre discussion là où vous l'aviez laissé avant mon arrivée..

Cyric s'inclina devant la présence de Dame Penthesilia, la regarda dans le fond des yeux avant de lui tindre :

Mes homages Dame Penthesilia, heureux de faire votre connaissance. Nous parlions de nos intérêts respectifs, de notre passé et de notre espéré avenir.

Sachez que je suis ici en mon nom, bien que je porte les armoires de la TCHAO avec l'honneur et la dignité qui lui revient.

Je parle donc en ma propre personne et non en tant qu'orateur des Trolls.
Mon Ambassadeur a très certainement dû passer vous voir en votre "Ambassade".

Vous m'honorez de votre ravissante présence et de votre agréable courtoisie.

Cyric maintenant plus alaise en la situation se rassasia d'une nouvelle gorgée de saké.

Penthesilia continuait de siroter son premier verre sans se presser, se laissant bercée par la douce chaleur du feu qui ronronnait, bienveillant dans l'âtre non loin d'eux. Elle dévisagea de nouveau Cyric en souriant

Et bien les TCHAO ont là un bien agréable représentant!

L'Amazone finit son verre d'un trait puis reprit, le visage sérieux, presque froid :

Vous nous avez conté avec passion et intérêt l'histoire de votre alliance, de votre empire. Mais je me demandais : que savez-vous de nous, de notre Ordre et des Chevaliers qui le composent? Voyez-vous je suis une jeune femme curieuse..mais l'êtes vous autant que moi?

Penthesilia se tut, son visage concentré vers celui de son interlocuteur...

Le Roi Rouge leva une main et sourit à l’ancienne Reine Amazone, celle qu’il avait vaincue voilà bien des années maintenant, lorsqu’il était encore adolescent. Elle lui rendit son sourire et Alendil caressa le bois de la table en s’adressant à leur invité, le Juste Seigneur Cyric :

Voyez-vous, cher ami, cette femme est un génie. Je n’irais pas vous faire l’affront de vous dire que nous le sommes tous plus ou moins, mais si je devais comparer mon Chevalier Sénéchal Penthesilia à un organisme, ce serait une lionne, une panthère, qui fascine par l’agilité et la souplesse de ses mouvement, endormant vos sens et bondissant sur vous pour savourer votre chair encore chaude.

Le Seigneur Roi Alendil n’avait plus rien d’amusant sur le visage, son regard était glacé, sa posture égale et sa main ne bougeait plus sur la table. L’atmosphère venait de perdre une dizaine de degrés et même les feux avaient compris et entonnaient un chant moins vivace, moins festif. Un mouvement se fit contre une des portes, un des Paladins toussota, immédiatement honteux de sa toux. Mais il faisait si froid maintenant, tellement froid. Le regard émeraude du Roi Rouge fixait calmement Cyric. Puis l’instant figé cessa et tout revînt à la normale, comme un rêve oublié, déchiré jusque dans sa trame de quelques allures de cauchemar. Il sourit avec indulgence, naïveté, balayant tout cela d’un geste de la main dans l’air.

Ainsi, cherchez toujours la question sous la question, cher Empereur. Nous sommes des escrimeurs du verbe et il n’est pas rare que nos mots aient plusieurs sens, plusieurs acceptations. C’est notre spécialité, même si nos armées ne sont pas en reste. Enfin, je vous laisse répondre, sachez que j’écoute attentivement.

Le Roi avait perdu toute froideur mais un éclat glacial et prédateur demeurait au fond de son regard, tandis qu’il portait une fois encore son verra à ses lèvres. Il jouait sur la table avec une pièce en argent qu’il faisait rouler d’un doigt à l’autre…

Et au loin les échos de quelques enfants qui jouaient, grandissant à l’ombre de l’Ordre.

Cyric décrocha le regard d'Alendil, observa chacun des trois avec attention

Seigneur Alendil, veuillez croire que je me plait à échanger avec vous, nos discussions étant réellement intéréssantes et l'éthique dont vous faites preuve n'est que des plus remarquable.

Dame Penthesilia, votre présence au tournues "féline" me ravie.
Et quand à vous Exodus, je dois vous avouer percevoir en vous l'image que vous souhaitez faire transparaitre.

Cyric se tut un instant

Messeigneurs, et Dame Penthesilia, veuillez m'excuser , mais la fatigue de ma route m'emporte, et je ne souhaiterai vous manquer de respect en une quelconque tournure de phrase mal tournée ou d'un égard d'attention.

Si vous n'y voyez quelque objection, je vais me retirer quelques heures afin de me reposer. Nous reprendrons notre discussion après une bonne nuit de someil, si vous le voulez bien.

Cyric s'inclina attendant réponse à sa requête.

Invité

Sachez que nous ne sommes pas seulement accueillant en paroles mais aussi en actes, laissez moi vous conduire jusqu'à un lieu plus reposant où vous pourrez récupérer calmement toute la fatigue accumulée durant votre périple pour venir jusqu'à nous.

Exodus invita Cyric à lui emboîter le pas et tous deux sortirent. Ils traversèrent un grand nombre de pièces et de couloirs à l'architecture majestueuse et au mobilier opulent. Des statues finement sculptées à l'effigie du roi et de ses fidèles chevaliers sénéchaux, des tentures minutieusement brodées.

Cyric suivait Exodus qui connaissait parfaitement le labyrinthe où le troll harassé se serait sans aucun doute perdu si il avait été seul. Ils passèrent devant les cuisines d'où leur parvenait le délicieux fumet de merveilleux petits plats qui mijotaient déjà et qui les attendraient dès le lendemain pour fêter l'arrivée de l'ambassadeur. Ils traversèrent aussi une salles où des paladins s'entraînaient sans relâche car seul les meilleurs avait l'honneur de faire partie de la garde rapprochée du roi. Lorsqu'il entrèrent, les paladins cessèrent leur entraînement pour s'incliner respectueusement devant le chevalier sénéchal et leur hôte. Exodus les incita à continuer d'un signe discret de la main ce qu'il firent immédiatement montrant soudain encore plus d'ardeur à vouloir être le meilleur dans le but évident de se faire remarquer par le chevalier.

Il arrivèrent enfin face à des escalier qu'ils grimpèrent, ils suivirent encore un long couloir et Exodus s'arrêta devant l'une des portes. Il se tourna vers Cyric avec un énorme sourire aux lèvres.

Désolé de vous avoir fait faire de nombreux détours...

Face au visage surprit de Cyric Exodus rit avant d'ajouter

Le palais est grand certes mais il aurait été illogique d'y bâtir les salons et les chambres à l'opposé non? En règle général après avoir bien mangé et bien bu la première envie d'un être normalement constitué est d'aller dormir.
Ce n'était en aucun cas une façon de me jouer de vous, ni même de vous vous vanter orgueilleusement les richesse de mon roi.
Mais j'ai le sentiment que c'était ce que je devais à faire. Peut être qu'ainsi voudriez vous ne plus nous quitter.

Puis il ouvrit la porte révélant ainsi une chambre qui n'avait rien à envier au reste du palais.

Et bien, il ne me reste plus qu'à vous souhaiter une bonne nuit .

Le félin le regardait avec intensité et on pouvait lire la compassion et la bonté, de toute évidence il appréciait déjà ce nouvel arrivant et espérait que ce dernier reste aussi longtemps que possible.

Cyric qui suivant Exodus dans les couloirs, d'un regard hazardeux vers les décors qui l'entouraient.

N'ayez crainte cher Exodus, les pilleurs de pyramides m'envient au plus haut point

dit il en décrochant un sourir malicieux du coin de ses lèvres.

Je vous remercie de votre hospitalité ô Exodus, remerciez en votre Roi également.

La longue route qui sépare nos empires m'a certes fatigué, mais j'ose espérer reprendre nos discutions dès le lever du jour, après quelques séries d'exercices.

Cyric salua le Chevalier Sénéchal Exodus avant de s'enfermer dans sa chambre.

Installa son dispositif d'alarme, pris une bonne demi heure pour se défaire de ses vêtements de parade, puis termina sa soirée par une bonne pipe bourrée de tabac elfique dont les effets laissent rêveurs les plus sensibles.

Pendant ce temps, Sogeking arpentait les taverne de la contrée mais au bouts de quelque heurs il se rendis compte qu'il n'y avait plus rien pour étancher sa soif.

Cependant, une sorte de picotement lui pris le cuir chevelus. Ce ne pouvais pas être les effet de l'alcool puisqu'il n'avait presque rien bus. C'est comme si quelque chose s'était activer dans sa tête. Quelque chose qui avait très peu servis dans sa vie de troll berserk.

Soudain un passant l'interpela pour lui demander sa route et il le compris alors qu'il y as quelque heur il ne connaissait rien de la noble langue humaine.

Sa rencontre avec les pilier de bar lui avait, a travers les rites universelle de la commande de tonneau, appris a parler la langue du pays.

Surpris par cette découverte il décida d'aller rejoindre son chefs au château, car il est tout de même de sa garde personnel et rapprocher. Il se mit donc en chemin vers le château et plus précisément vers les chambre du château.

Seulement voila, comment retrouver Cyric au milieu de tout ses couloir et de toute ses pièces ? Très facile. Le Trolls est un monstre qui vis dans une puanteur omniprésente chez lui. Il a donc évoluer son odorats pour repérer le comestible du destructible. Il ne mis donc que quelque minute a retrouver son chef, mais pris le temps tout de même de jeter un regard sur les fresques mural qu'il trouvais d'un gouts exquis, surtout celle des batailles.

Une fois devant la pièce, il remarqua que le système de défense était activer et que donc son seigneur ne voulais pas être déranger.

Il fera donc sa requette demain a cyric afin de savoir si il peut, après s'être excuser de son comportement, s'installer a la table des négociation.

C'est sur cette décision qu'il décida de monter la garde durant toute la nuit devant la chambre en prenant soin de n'agresser personne, même du personnel, attendant l'aube avec une grande ferveur.

[HRP]Je suis en partiels pour 3 semaines, donc je ne passerai certainement pas avant la fin de mes exams.
Sogeking essayes de bien intégrer le RP si tu le veux.[/HRP

Cyric, au réveil avait passé une très bonne nuit. Il désamorca son dispositif de sécurité, et la BIIIP BIIIP BIIIP

Le troll retira son alarme, pris son micro moniteur, tenta de l'en faire cesser le BIIP BIIP BIIIP. Il lu le message affiché :

Code:: Empereur Cyric, nous entrons dans une guerre, nous avons besoin de vos stratèges, conseils, et votre ruse.
Rejoignez nous au plus vite aux coordonnées itra

345/\853
145\/947

Et Diantre ! moi qui pensait enfin trouver repos et spiritualité ici ! Me voila à devoir reprendre les armes !
dit-il seul dans son habitation d'une nuit.

Il ouvrit la porte, y vit Sogeking affalé contre le mur entrain de dormir, l'éveilla et l'informa de sa déception de ne pouvoir rester et de tenter de résoudre ce conflit armé par sa ruse plus que par le sang.

Il lui demanda également de bien vouloir l'en excuser auprès du Roi Rouge, et que c'est avec regrets qu'il ne prendra le temps de lui parler de son départ plus que précipité. Mais qu'il esère vivement revenir au plus vite.

Sogeking acquiesçât. Compris la graviter de la situation et ne demanda pas a le suivre. En effet la ruse n'est pas une de ses principal qualités.

Il décida donc de rester dans le château afin de permettre à cyric d'avoir toujours un points d'encrage pour les discutions.

A demis réveiller il accompagna son seigneur jusqu'à la porte et le saluât ainsi que la garde rapprocher.

Puis se rendis dans la salle du trône ou il demanda audience auprès du roi.

[HRP] Comme cyric je serais absent un peu. En fait je suis interne et donc je ne joue que le Week End ( merci a mon frère ^^). Je reviendrai donc vendredi soir [/HRP]

Le vent faisait face, les arbres perdaient leur feuillage, une bise glacée gercait le visage indolant du Troll.

Son cookpit à moitié détruit, il ne restait plus que les pièces principales sur son vaisseau ; en effet, le combat avait été dur et sanglant.

Arrivé là ou l'air était frais, ou le soleil ravissait les prairies et ou les arbres décoraient le paysage de leurs fleurs ;

Cyric sortit de l'épave, s'assit sur une petite coline, et contempla la beauté du Royaume, puis quelques minutes plus tard, se redressa afin de relancer sa machine...

Ne pouvant plus démarrer, Cyric dû se déplacer au Chateau à pieds.

Au bout de quelques lieux, il remarqua que ses pouvoirs n'avaient pas été affectés par la zone d'anti magie d'Alendil Le Roi Rouge ; Il s'arrêta, pris le temps d'invoquer un sphynx, puis l'utilisa comme monture.

Le paysage ravissant ses yeux, il lui faisait oublier ses scènes de combat
ses hommes perdus au cours de la bataille, mais aussi certains de ses amis des quels il était resté sans nouvelles.

Arrivé au portes de la Citadelle, Cyric révoqua sa monture ; retira ses guenilles et s'apparut de sa plus belle tunique, se présenta au Chevaliers puis entra dans les ruelles de la cité avant d'arriver devant le Palais Royal.

Il se présenta a un écuyer et lui demanda d'avertir le Roi de son arrivée.

Le Roi griffonnait une note à l'attention du Capitaine de la Garde de la Lumière qui encadrait la sortie au Parc Alendil des jeunes recrues en seconde année d'études de la sociologie politique. Il devait en effet intervenir lors d'un discours chaque année, mais il était actuellement empêché par la gestion d'un aéronef qui se serait crashé dans le Jardin du Roi Rouge, en plein sur les Cerisiers Sacrés. Nerveux, Alendil jeta la note dans une enveloppe et la donna à un Valet.

Puis il se dirigea vers le lieu du drame, sobrement escorté de ses deux Samurais personnels. Il vint au devant de Cyric qui restait discret à côté de l'épave qui avait bien voulu traîner sa carcasse trollesque jusqu'ici.

Eh bien, cher ami, il semblerait que votre vaisseau soit aussi délicat que vous!

Il lui fit un sourire poli avant de l'enjoindre:

Venez, ne restons pas ici: bien que la nuit soit claire, il y souffle un vent glacial, allons à l'intérieur, dans mes appartements privés.

Le Roi n'aimait pas que l'on touchât à ses cerisiers mais il avisa de l'air penaud du troll, acceptant l'idée qu'il ne l'ait pas fait exprès. Une fois dans un de ces salons chaudement meublés et tapissés d'épaisses fourrures d'animaux sauvages et lointains, des hémisphères glacées de la planète. Le Prince de la Dynastie è.Thor s'adressa à son hôte, un sourire taquin aux lèvres et une coupe de saké dans la main:

Evitez, Sire Cyric, de considérer les Ecuyers comme des Valets, ils pourraient se vexer.

Il prit dans sa bouche la cerise qui nageait paisiblement dans le saké et en savoura longuement la pulpe imbibée d'alcool. Il poussa d'une main douce la petite table vers son invité, sur laquelle trônait diverses alcools et breuvages.

Servez vous donc!

Ce à quoi il obéit, le concernant.